Présidentielle de 2025 : Anne Féconde Noah soutien de Cabral demande aux jeunes de rentrer dans l’histoire

La femme politique Anne Féconde Noah encourage la jeunesse à saisir l’opportunité de la prochaine élection présidentielle pour marquer leur place dans l’histoire du Cameroun.

Les hommes politiques exhortent les Camerounais à s’inscrire sur les listes électorales, montrant ainsi leur conviction que le changement tant attendu à la tête du Cameroun aura lieu en 2025 lors de l’élection présidentielle. Par conséquent, ils continuent d’encourager vivement la population à s’inscrire en masse sur les listes électorales. Anne Féconde Noah, directrice de campagne de Cabral Libii lors de l’élection présidentielle de 2018, cible spécifiquement la jeunesse, soulignant qu’elle a l’opportunité d’écrire l’histoire du pays en 2025

«Chers jeunes compatriotes, c’est le temps de notre temps! C’est le moment de démontrer à la jeunesse Camerounaise que l’on se soucie d’elle, que l’ambition présidentielle n’est pas un projet individualiste. En 2025, Il faut rentrer dans l’histoire de votre génération, et mettre en avant l’intérêt général, et non une volonté égoïste d’assouvir à tous les prix un projet présidentiel d’accomplissement personne», écrit la femme politique.

En expliquant aux jeunes que devenir président de la République n’est pas simplement une carrière, Anne Féconde Noah souligne qu’il s’agit d’une mission. Elle encourage les jeunes à accorder leur voix au candidat de leur tranche d’âge.

«Lorsqu’elle doit intervenir après 43 ans d’un seul régime pris en otage par des aînés peu soucieux du devenir des plus jeunes et de l’avenir, elle devient une MISSION GÉNÉRATIONNELLE DE REFONDATION. Les hommes politiques potentiellement candidats, d’un âge respectable, DOIVENT DONNER UNE CONSIGNE DE VOTE EN FAVEUR D’UN CANDIDAT PLUS JEUNE. C’EST AINSI QU’ILS RENTRERONT DANS L’HISTOIRE.ILS  AIDERONT À DES FONCTUONS DE CONSEIL. En 2025, il faudra au maximum éviter la dispersion des voix de l’opposition. C’est le temps de notre temps, si nous le laissons nous échapper, c’est avec nos enfants et même nos petits-enfants, que nous aurons cette discussion d’ici quelques années. Oui la jeunesse n’est pas un programme politique, mais c’est un atout, dans des démocraties à bâtir», ajoute la femme politique.

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